L'actualité
Oliver Zipse, CEO de BMW, n’est pas tout à fait d’accord avec les appels à mettre fin entièrement à la production de voitures thermiques et pense que les constructeurs devraient plutôt développer l’attractivité des moteurs à hydrogène.
Impossible pour le secteur automobile de parier uniquement sur l’électrique
Alors qu’il intervenait dans le cadre de l'Innovation Day conference à Erlangen, en Allemagne, le CEO de BMW a parlé de la façon dont il voyait la fin de la commercialisation des moteurs thermiques pour 2035.
Pour Oliver Zipse, les politiciens doivent rester ouverts à d’autres formes de motorisations permettant de rendre les voitures plus écoresponsables. En effet, tous les politiciens semblent miser uniquement sur le développement des voitures électriques pour atteindre les objectifs de réductions d’émissions de CO2 dans le cadre de la mobilité des usagers de la route.
Pourtant, d’autres types de motorisations écologiques, comme les moteurs à hydrogène, existent et permettent eux aussi de lutter efficacement contre le réchauffement climatique.
Les moteurs à hydrogène pour éviter les problèmes de développement des bornes de rechargement
Pour Oliver Zipse, la volonté de passer au tout-électrique poussée par les politiciens ainsi que par certains constructeurs automobiles risque d’entrer en conflit avec les difficultés de déploiement des bornes de rechargement électrique publiques ou privées, qui risquerait de ne pas suivre les besoins d’un futur parc automobile majoritairement électrique.
La diversification des types de motorisations écoresponsables devrait permettre aux constructeurs automobiles comme aux usagers de la route d’être certains de pouvoir bénéficier de structures adaptées aux besoins de leurs futurs véhicules propres, plutôt que de risquer de voir des difficultés se développer empêchant les usagers de la route de recharger leur voiture électrique autant qu’ils le voudraient. C’est notamment en cela que la démocratisation des voitures à hydrogène pourrait aider
En effet, pour Oliver Zipse, le passage du thermique à l’hydrogène serait relativement plus simple à mettre en place comparé à l’électrique.
Parce qu’un automobiliste avait oublié d’actionner son frein à main en garant son véhicule, deux jeunes filles de 13 ans se sont retrouvées à l’hôpital.
Une jeune fille coincée sous une voiture à Falaise
C’est aux alentours de 14h, le mardi 13 septembre 2022, qu’une jeune Anglaise âgée de seulement 13 ans a été percutée par une voiture à Falaise, non loin du château Guillaume-le-Conquérant. La faute à un automobiliste imprudent qui avait garé sa voiture mais en oubliant d’actionner son frein à main.
La voiture a dévalé la pelouse proche du château et s’est retrouvée non loin d’une table de pique-nique. C’est alors que la jeune Anglais s'est retrouvée coincée sous la voiture.
Deux jeunes filles transférées à l’hôpital pour un frein à main oublié
L’automobiliste, un homme âgé de soixante-dix ans, était parti en randonnée avec des amis lorsqu’il a remarqué que sa voiture se trouvait sur la pelouse. Malgré ses efforts pour retenir le véhicule, une jeune fille s’est retrouvée coincée en dessous. La jeune Anglaise a été emmenée à l’hôpital en urgence relative avec l’une de ses amies, en état de choc après l’incident. La gendarmerie, qui était présente sur les lieux, a ouvert une enquête, même si la cause à l’origine de cet incident serait liée à un oubli d’activation du frein à main d’après le conducteur.
Un usager de la route est décédé le jeudi 8 septembre 2022 après qu’une voiture ait chuté sur l’autoroute A21 depuis la route nationale passant au-dessus.
Une voiture fait une sortie de route et atterrit sur l’autoroute
C’est aux alentours de 21h30 qu’est survenu un accident extrêmement impressionnant le jeudi 8 septembre 2022, aux alentours de Lens. Une voiture a dévalé un talus situé juste à la sortie d’un pont enjambant l’autoroute A21 et s’est écrasée sur cette même autoroute, qui se situe juste en contrebas.
L’incident a nécessité l’intervention de 19 pompiers, qui n’ont pas pu sauver l’une des victimes de l’accident, qui a été déclarée comme étant décédée à leur arrivée.
Le conducteur de la voiture ayant chuté placé en garde-à-vue
D’après les tous premiers éléments de l’enquête, l’automobiliste qui conduisait la voiture qui a chuté sur l’autoroute était sous l’influence de l’alcool, son alcoolémie étant comprise entre 0,50 g/L et 0,80 g/L. L’usager a été placé en garde à vue et des analyses complémentaires sont encore en cours afin de définir s’il avait également consommé des produits stupéfiants.
305 usagers de la route ont perdu la vie sur les routes en août 2022, soit une augmentation de 5% par rapport à la dernière période de référence, en 2019.
305 décès d’usagers de la route français en août 2022
L’ONISR vient tout juste de publier le bilan de la mortalité routière pour le mois d’août 2022, qui indique que 305 usagers de la route ont perdu la vie en août 2022. On note, parmi les catégories de victimes d’accidents de la route, 2 décès d’automobilistes de plus par rapport à la dernière période de référence, ainsi que 14 cyclistes de plus. À l’inverse, l’ONISR note une baisse du nombre de piétons décédés avec deux piétons ayant perdu la vie en moins, ainsi que huit décès de moins chez les conducteurs de deux-roues motorisés.
L’augmentation du nombre de décès se poursuit par rapport à 2019
Déjà durant le mois de juillet dernier, l’ONISR avait mis en avant une augmentation du nombre de décès dans des accidents de la route, qui semble donc se poursuivre durant le mois d’août 2022, qui augmente de 5% par rapport à la dernière période de référence, à savoir le mois d’août 2019. Ce sont 290 usagers de la route qui ont perdu la vie en 2019, et 273 qui sont décédés en 2021.
Si le nombre de décès a augmenté sur la route en août 2022 par rapport aux années précédentes, on note cependant une baisse du nombre d’accidents corporels, qui sont passés de 4253 en août 2019 à 4354 en août 2021, pour passer à 3995 accidents corporels en août 2022.
Si le prix de vente des pièces détachées des voitures semble être en évolution constante, les équipementiers automobiles doivent composer avec une baisse du volume de pièces détachées disponible, causée par le fait que les voitures électriques s’usent moins vite.
Les ventes de pièces détachées en chute libre à cause des voitures électriques
La période actuelle s’avère extrêmement délicate pour tous les équipementiers proposant des pièces détachées de voitures. La difficulté liée à ce marché provient du fait que de plus en plus d’usagers de la route ont choisi de changer leurs habitudes de mobilité en achetant une voiture électrique.
Or il est nécessaire de prendre en compte le fait que la baisse du nombre de véhicules thermiques en circulation entraîne une baisse des besoins de procéder à des réparations sur lesdits véhicules thermiques, ce qui entraîne à son tour une baisse des ventes de pièces détachées chez les particuliers comme chez les garagistes.
D’après l’Association européenne des équipementiers, la baisse du volume de ventes de pièces détachées atteint déjà 30%.
La demande de pièces liées à la motorisation en baisse, mais une hausse pour d’autres pièces détachées
La baisse de la demande en pièces détachées touche tout particulièrement et très logiquement les différentes pièces associées directement aux différentes formes de motorisations thermiques.
Que ce soit des éléments du moteur lui-même, du système d’échappement ou bien encore de la boîte de vitesses, tous ces éléments mécaniques voient leur demande baisser drastiquement du fait de leur absence parmi les éléments des voitures électriques.
À l’inverse, certaines pièces détachées ont, quant à elles, vu leur demande augmenter avec l’explosion du volume des ventes de véhicules électriques. Il s’agit principalement des éléments plus affectés par le poids des voitures électriques, plus important que pour leurs équivalents thermiques. Les pièces en question sont donc principalement celles liées aux suspensions ainsi qu’aux pneumatiques.
Seul un petit nombre de radars tourelle sont véritablement fonctionnels, et s’il était auparavant possible de vérifier d’un seul coup d’oeil si un radar tourelle était un véritable radar ou un leurre, cette vérification est devenue presque impossible à réaliser, à moins de véritablement s’y entendre en radars automatiques.
Rechercher les radars tourelle … à l’oreille
Si auparavant la vitre qui se situe à l’avant des Mesta Fusion 2, aussi connus sous le nom de “radars tourelle”, permettait de repérer rapidement si la cabine du radar contenait le dispositif de prise de photos ou non, les nouvelles finitions des radars tourelle rendent cette vérification visuelle impossible.
Les usagers de la route sont-ils condamnés à ne jamais savoir s’ils passent devant un véritable radar tourelle ou un leurre ? La réponse est non, et même s’il reste fortement conseillé de considérer chacun de ces radars comme étant potentiellement un véritable radar tourelle et de veiller à toujours respecter les limitations de vitesse et les autres règles du Code de la route, il reste parfaitement possible de définir si une cabine de Mesta Fusion 2 est vide ou non.
Pour cela, les usagers de la route doivent sortir de leur voiture (dans un espace où ils en ont le droit et sans mettre les autres usagers de la route en danger évidemment), et doivent s’approcher du radar. Pour savoir si le radar est un vrai, il faut tendre l’oreille pour essayer d’entendre le son du ventilateur qui permet de refroidir l’appareillage électronique qui compose le système radar. Si vous entendez bel et bien le bruit du ventilateur, alors cela signifie que vous vous trouvez en présence d’un radar tourelle opérationnel.
Quelles sont les infractions relevées par les radars tourelle ?
Les radars tourelle possèdent un éventail de missions véritablement complet parmi lesquels le calcul de la vitesse du trafic routier sur les voies qu’il surveille, la discrimination du type de véhicule réalisant une infraction, l’identification des différentes voies sur lesquelles les voitures circulent ou bien encore le contrôle du franchissement des feux rouges.
Si vous comptez sur le nombre de véhicules circulant autour de vous pour espérer échapper aux sanctions d’un radar tourelle méfiez-vous car ces dispositifs radars sont capables de contrôler jusqu’à 126 véhicules simultanément !
Alors que plusieurs modèles de voitures radars parcouraient déjà les routes pour prendre en flagrant délit les conducteurs dépassant les limitations de vitesse, des nouveaux modèles ont été repérés cet été.
Quatre nouveaux modèles de voitures radars que pourront croiser les automobilistes
Comme l’indique le site radars-auto.com, l’été a été particulièrement propice à la découverte de nouveaux véhicules destinés à flasher en toute discrétion les autres véhicules qui ne respectent pas les limitations de vitesse.
En plus des Peugeot 308, des Peugeot 508, des Ford Focus, des Volkswagen Passat, des Citroën Berlingo, des Seat Leon ou encore des Skoda Octavia qui composaient jusqu’ici les flottes de voitures radars, qu’elles soient conduites par des agents de la force publique ou par des conducteurs recrutés par des entreprises privées, ce sont quatre nouveaux modèles de voitures équipées de radars qui ont été repérés tout au long de l’été.
Les premières sont des Golf 7, qui si elles étaient d’ores-et-déjà utilisées comme voitures radars par les forces de l’ordre, rejoignent également les flottes de voitures radars privées.
La première Volkswagen Passat 8 transformée en voiture radar a également été vue, rejoignant les quelque 38 Volkswagen Passat 7 qui flashent déjà les automobilistes depuis trois ans.
Des Ford Focus 4 SW ont également rejoint les flottes de voitures radars, destinées à remplacer les Méganes 2 Break et les Ford Focus 2 SW vieillissantes. Enfin, des Peugeot 308 SW ont également été aperçues dans leur version restylée, plus récente par rapport aux 308 déjà en service depuis 2018.
Des voitures radars toujours passe-partout
Comme toujours, les nouvelles voitures choisies pour remplir les missions de voitures radars sont des véhicules populaires et peints dans des couleurs passe-partout, afin d’attirer le moins possible l’attention des autres usagers de la route, empêchant ainsi de sanctionner les comportements qui seraient contraires aux règles du Code de la route, notamment en matière de respect des limitations de vitesse.
D’après une étude menée aux États-Unis, les conducteurs seraient plus intéressés par acheter une voiture Apple que par le constructeur automobile Tesla.
Un réel intérêt des usagers de la route américains pour l’Apple Car
Strategic Vision a demandé à des automobilistes américains les marques de voitures dont ils seraient prêts à faire l’acquisition, et parmi elles une éventuelle voiture commercialisée par Apple.
À la surprise des personnes ayant conduit cette étude, l’idée d’acheter une voiture produite par Apple plaît à de nombreux usagers de la route, puisque cette marque qui n’a encore commercialisé aucune voiture est d’ores et déjà troisième parmi les constructeurs pour lesquels les usagers de la route considèrent définitivement d’acheter l’un de leurs modèles.
La première marque est Toyota, qui intéresse 38% des personnes interrogées, suivie par Honda avec 32%.
Apple arrive donc à la troisième position des marques automobiles qui intéressent les plus les usagers de la route avec 26% de réponses positives. Suivent ensuite Ford avec 21% et Tesla, qui referme le top 5 avec 20% d’intérêt de la part des conducteurs américains.
Une étude qui pourrait pousser Apple à accélérer le développement de sa voiture ?
Les résultats de cette étude montrent qu’Apple bénéficie déjà d’une bonne réputation en tant que constructeur automobile et que les attentes des consommateurs sont importantes vis-à-vis de leurs véhicules, surtout par rapport à des constructeurs automobiles déjà bien établis, notamment Tesla.
Cette étude met également en avant un certain l’avantage d’Apple par rapport à Tesla, puisque 50% des propriétaires de Tesla seraient prêts à acheter une voiture commercialisée par Apple.
Les prix des carburants fossiles à la pompe poursuivent leur baisse initiée durant le mois de juin 2022, comme le montrent les chiffres publiés par le Ministère de la transition écologique en début de semaine.
Les prix du diesel et de l’essence chutent encore
Le lundi 12 septembre 2022, le Ministère de la transition écologique a publié les nouveaux prix moyens des différents carburants à jour. Il en ressort que la baisse progressive des prix à la pompe constatée depuis le mois de juin dernier se poursuit, soutenue notamment par la remise de 30 centimes d’euros à la pompe mise en place par le gouvernement.
Depuis la semaine dernière, le litre de SP95 a perdu 4,9 centimes d’euro le litre, et le E10 a perdu 4,2 centimes d’euro au litre. Pour le SP98, la baisse atteint 4,7 centimes d’euro au litre.
Le diesel bénéficie lui aussi d’une baisse, mais moins importante, puisqu’il diminue de 2,5 centimes par litre de carburant.
La Mairie de Marseille a porté plainte et a mis en place certaines sanctions après les révélations faites par 20 Minutes sur des détournements présumés dans le parc automobile de la mairie de Marseille.
Des vols et des détournements de biens publics parmi le parc automobile de la ville de Marseille ?
Le parquet de Marseille a récemment ouvert une enquête afin de faire toute la lumière sur les soupçons de détournements de biens publics qui agitent récemment le parc automobile de la cité Phocéenne.
Parmi les différents faits reprochés, on note notamment la disparition d’une tractopelle, du désossage de voitures pour récupérer leurs pièces, ou bien encore du vol de carburant.
Il ne s’agirait pas de simples actes isolés, mais d’un réseau bien organisé. La Mairie de Marseille a annoncé avoir porté plainte et, vu l’ampleur de cette affaire, celle-ci pourrait être laissée à la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS), qui s’occupe notamment des enquêtes liées au crime organisé.
Des mesures prises par la mairie de Marseille
Pour mettre fin rapidement à ces détournements de biens publics, la mairie de Marseille a décidé de retirer certains de ses fonctionnaires du parc automobile de la ville pour leur donner de nouvelles missions et a mis en place de nouveaux dispositifs d’alerte et de sécurité, en sécurisant le parc automobile ou en traçant plus efficacement les véhicules destinés à la destruction.
La personne à l’origine des révélations autour de cette affaire, elle-même fonctionnaire travaillant dans pour la mairie de Marseille, a déposé une plainte après avoir fait l’objet de menaces et de faits de harcèlement.
Pour la première fois en France, le total de voitures électriques et hybrides rechargeables a dépassé les 20% du total des voitures vendues sur un mois, dépassant ainsi les volumes de vente des voitures diesel.
De plus en plus de véhicules électriques et hybrides vendus en France
Pour la toute première fois, le volume de voitures électriques et hybrides rechargeables neuves vendues en France représente plus de 20% des parts du marché de l’automobile en France. En représentant respectivement 12,2% des véhicules neufs vendus pour les voitures électriques et 7,9% pour les voitures hybrides rechargeables, ces véhicules ont dépassé le total des voitures diesel vendues sur la même période, qui représentent “seulement” 16,7% des véhicules vendus.
Ce volume de ventes peut notamment s’expliquer dans le déploiement de nouvelles restrictions de circulation avec l’entrée en vigueur de nouvelles zones à faibles émissions et la possibilité que les interdictions de circuler au volant de véhicules polluants pourraient se généraliser là où ils vivent.
Des véhicules aux prix et aux loyers encore élevés
Si les ventes de véhicules électriques et hybrides électriques augmentent, celles-ci restent encore freinées par les tarifs importants appliqués par les constructeurs automobiles à ces véhicules, alors que les bonus écologiques ont vu leur montant diminuer au fil des ans et qu’ils continueront à baisser en 2023.
Le prix d’une voiture électrique et hybride rechargeable ne risque donc pas de baisser, que ce soit à l’achat ou à la location, puisqu’une étude estime qu’en 2030 le prix d’une voiture électrique sera toujours 4000 à 5000 euros plus chers que leurs équivalents thermiques.
Liz Truss, la nouvelle Première ministre Britannique, envisagerait de modifier les limitations de vitesse en Angleterre pour les calquer sur les Autobahn Allemands.
Plus de limitations de vitesse sur les autoroutes anglaises ?
Les autoroutes intelligentes de l’Angleterre sont actuellement limitées à 70 miles, soit une vitesse proche de 113 km/h. Mais les investissements importants réalisés sur ces voies de circulation et le manque de résultats obtenus en retour poussent le gouvernement britannique à remettre sur la table la question des limitations de vitesse sur leurs autoroutes, au point qu’un projet de passage à une vitesse libre, comme cela se fait sur certaines autoroutes en Allemagne, serait envisagé.
L’impact écologique et économique d’une telle mesure remet sa faisabilité en question
Si la Première ministre Britannique envisage ce changement radical des limitations de vitesse en vigueur, ce n’est pas le cas de tous les citoyens anglais. En effet, partout en Europe, l’ouverture récente à la question de l’impact écologique des déplacements du quotidien ainsi que les pénuries de carburant et l’augmentation des prix qui en résultent pousseraient plutôt à envisager une solution de réduction de limites de vitesses autorisées afin de diminuer la consommation des véhicules et les émissions de gaz à effet de serre.