L'actualité
Le dernier bilan de la sécurité routière montre que 248 usagers de la route ont perdu la vie en novembre 2022, soit une augmentation de 8% par rapport au mois de novembre 2021.
18 morts de plus en novembre 2022 qu’en novembre 2021
D’après le nouveau bilan de la sécurité routière publié sur le site de l’ONISR, 248 personnes sont décédées sur l’ensemble des routes de France sur l’ensemble du mois de novembre 2022.
Le nombre de décès sur les routes constaté en novembre 2022 a donc augmenté de 8% par rapport à la même période analysée l’année précédente. Cela représente un total de 18 décès de plus par rapport à l’année 2021.
Comme souvent, les usagers de la route étant âgés de 65 ans et plus représentent la classe d’âge la plus représentée parmi les décès sur les routes avec 72 décès en novembre 2022, suivi des 18-24 ans avec 42 morts et enfin des moins de 18 ans avec 9 victimes.
Plus de morts mais moins d’accidents et de blessés
Si l’augmentation du nombre de décès constatés sur les routes en novembre 2022 est évidemment préoccupante, il convient néanmoins de relativiser ces chiffres. En effet, malgré l’augmentation constatée par rapport à l’année précédente, le nombre de décès constatés en novembre 2022 reste inférieur à celui constaté en 2019, qui est la dernière période de référence, les résultats des années 2020 et 2021 ayant été impactés notamment par les différents confinements et par le Covid.
De plus, si le nombre de décès constatés en novembre 2022 est en hausse, d’autres métriques importantes ont néanmoins baissé. C’est notamment le cas du nombre d’accidents corporels, qui est passé à 4 368 accidents en novembre 2022, soit 27 de moins par rapport à l’année précédente et 257 de moins par rapport à 2019. De même, le nombre de blessés a lui aussi baissé de 7% par rapport à 2021, avec 5340 blessés.
La déléguée générale de la Prévention routière a rappelé un certain nombre de règles à appliquer dans le cadre de la conduite en hiver, notamment en augmentant les distances de sécurité en cas de neige sur les voies ou de verglas.
Anticiper rester la clé pour bien circuler sous la neige
Dans une interview donnée à FranceInfo, la déléguée générale de la Prévention routière, Anne Lavaud indique que le meilleur moyen d‘adopter une conduite sécuritaire et d’éviter au maximum les accidents reste de faire très attention et d’anticiper les risques.
Les automobilistes doivent néanmoins faire extrêmement attention à augmenter les distances de sécurité par rapport aux autres véhicules qui les précèdent afin d’anticiper d’éventuelles augmentations de la distance de freinage, ou bien encore en évitant d’utiliser les phares antibrouillard avant et arrière en cas d’absence de chutes de neige importantes, car ces feux peuvent éblouir les autres conducteurs.
D’autres usagers de la route doivent également faire attention
Les automobilistes ne sont pas les seuls usagers de la route qui pourraient subir des accidents de la route durant la période hivernale, et certains de ces usagers doivent être tout particulièrement prudents.
C’est notamment le cas des cyclistes, qui sont tout particulièrement à risques, notamment si leur trajet les amène à prendre des pistes cyclables, car celles-ci ne sont que rarement salées et déneigées, et donc tout particulièrement dangereuses. De plus, si ces usagers de la route possèdent un vélo électrique, ils doivent savoir que les batteries de leur véhicule sont particulièrement sensibles au froid, qui a tendance à entraîner des baisses de batteries.
À cause de l’absence d’un décret autorisant les sanctions liées à la loi montagne II, les automobilistes qui n’ont pas d’équipements hiver pour leurs pneus ne seront pas sanctionnés.
Malgré la loi hiver, pas de contraventions pour les conducteurs sans pneus hiver
Alors que la loi montagne impose aux usagers de la route d’équiper leur véhicule motorisé de pneus hiver ou d’emporter des chaînes ou des chaussettes de pneus lorsqu’ils circulent dans 48 départements français, les conducteurs ne seront finalement pas sanctionnés en cas d’absence de tels équipements dans leurs véhicules.
En effet, alors que les contrevenants à la loi montagne II auraient dû recevoir des amendes à partir du début de l’année 2023, l’absence de décret permettant de dresser les sanctions fait que ces conducteurs ne pourront pas recevoir d’amendes.
À la base, une période de tolérance était prévue entre le 1er novembre et le 31 décembre 2022, date à partir de laquelle les agents des forces de l’ordre auraient dû commencer à dresser des contraventions et à distribuer des amendes, d’un montant de 135 euros, aux usagers de la route contrevenants. Mais l’absence de publication du décret permettant de sanctionner cette infraction fait que les automobilistes ne recevront pas d’amendes en cas d’absence d’équipements hivernaux, mais seulement des remontrances de la part des agents des forces de l’ordre.
Un retard lié à la volonté pour le gouvernement de ne pas peser plus sur le budget des ménages
Si le décret permettant de sanctionner les usagers de la route n’a pas encore été publié, cela vient du fait que le gouvernement souhaite éviter de peser sur le budget des ménages. En effet, pour respecter la loi montagne II, les usagers de la route devront payer en moyenne 106 euros par pneumatique pour faire installer des pneus hiver sur leur voiture, passer à des pneus 4 saisons ou bien encore acheter suffisamment de chaînes à neige pour couvrir l’ensemble de leurs roues motrices. Des dépenses supplémentaires que le gouvernement ne semble pas souhaiter faire peser sur les épaules des automobilistes durant cette période déjà suffisamment délicate pour les automobilistes.
Avec l’arrivée d’épisodes de froid importants, de nombreux usagers de la route pourraient être confrontés à des situations difficiles, pouvant aller jusqu’à une situation où des conducteurs se retrouvent coincés pendant des heures sous le froid.
Des risques que des conducteurs se retrouvent coincés sous la neige
Avec l’entrée de 33 départements en vigilance orange pour la neige et le verglas le mercredi 14 décembre 2022, de nombreux usagers de la route pourraient se retrouver dans une situation délicate causée notamment par les pluies verglaçantes. Or cette situation n’est clairement pas sans risques pour les conducteurs, qui peuvent se retrouver coincés sur les voies de circulation pendant de nombreuses heures, parfois même des nuits entières.
Les conducteurs qui n’ont pas la possibilité de reporter leurs déplacements pendant cette période météorologique délicate pourraient alors se retrouver coincés dans leur véhicule pendant une période plus ou moins longue.
Se préparer au risque de rester coincé dans sa voiture
Puisque les usagers de la route ne pourront jamais être certains qu’ils ne se retrouveront pas coincés sur une route à cause des conditions météorologiques, les automobilistes peuvent se préparer face au risque de rester coincé sous la neige.
Et le meilleur moyen de se préparer passe d’abord par le fait de prendre de quoi manger ainsi qu’une boisson chaude, afin de pouvoir tenir suffisamment longtemps dans leur voiture. Ce conseil est d’autant plus important si vous n’êtes pas seul dans votre voiture et que vous transportez des enfants.
Pour pouvoir passer au mieux une situation de blocage dans une voiture pendant l’hiver, les conducteurs ne doivent pas hésiter à prendre durant leurs trajets du matériel leur permettant de se tenir chaud, comme des couvertures, ainsi qu’un chargeur de téléphone pouvant être branché sur leur voiture et une lampe-torche ou bien encore du matériel permettant de dégivrer les vitres.
Enfin, pour éviter au maximum les risques, les automobilistes doivent veiller à faire preuve de vigilance soit en remettant à plus tard leurs trajets lorsque cela est possible, soit en veillant à respecter le code de la route en redoublant de vigilance, mais aussi en laissant la priorité aux engins de service hivernal qui se retrouveraient en intervention devant les conducteurs.
En seulement 3 ans, la Norvège a doublé le nombre de véhicules électriques en circulation sur son sol, devenant ainsi le premier pays à atteindre un taux de 20% de voitures électriques. Mais ce tour de force a été réalisé notamment grâce à des aides à l’acquisition, qui seront à terme réduites.
De nombreuses acquisitions poussées grâce aux aides publiques
Si les automobilistes Norvégiens ont été aussi nombreux à acquérir une voiture électrique pour réaliser leurs déplacements, cela s’est fait en grande partie grâce aux différentes aides à l’acquisition qui ont été mises en place par Oslo, comme par exemple des exemptions de la plupart des taxes, ou bien encore des réductions de tarifs aux péages urbains ou dans les parkings payants pour ces automobilistes.
Des aides publiques qui devront bientôt prendre fin
Si le tour de force ayant permis à la Norvège d’atteindre un taux de véhicules électriques de 20% est impressionnant, il pèse cependant très fort sur le budget du pays, puisque la disparition d’un certain nombre de véhicules thermiques implique une baisse des entrées d’argent pour le gouvernement Norvégien plus rapide que ce qui était prévu.
C’est pour cette raison qu’à partir du 1er janvier 2023, les conducteurs norvégiens qui désirent acheter une voiture électrique ne bénéficieront plus de la suppression des taxes de 25%, qui s'ajoute donc dorénavant au prix d’achat de ces véhicules.
Lorsque des usagers de la route doivent choisir un nouveau véhicule, différents éléments, comme le montant théorique de l’assurance auto, peuvent avoir un impact sur leur motivation à choisir un type de véhicule motorisé plutôt qu’un autre. Dans le cas des voitures électriques, faire assurer ce type de véhicule coûte en général moins cher, sauf pour une marque spécifique.
Une assurance auto globalement moins chère pour les voitures électriques …
Si, dans le cadre de la définition du montant d’une prime d'assurance auto, certains éléments classiques comme le profil du conducteur ou son lieu d'habitation ont une importance, le modèle de véhicule qu’un usager de la route souhaite faire assurer s’avère également crucial.
Et il semble que dans le cas de l’assurance auto, le fait de circuler au volant d'une voiture électrique s’avère tout particulièrement intéressant. En effet, la prime d’assurance auto d’une voiture électrique serait en moyenne 12% moins chère que celle d’une voiture classique, grâce notamment à la suppression de la Taxe Spéciale sur les Convention d’Assurances (TSCA) qui concerne les voitures électriques achetées entre 2021 et 2023, ainsi que des offres de formules spécifiques mises en place par certains assureurs afin de récompenser leurs assurés les plus respectueux de l’environnement.
… sauf pour les conducteurs de Tesla
Seule une marque de voitures électriques semble faire défaut à cette règle d’une formule d’assurance auto moins chère pour les véhicules électriques : Tesla. En effet, le montant du prix d’une assurance auto pour un véhicule fabriqué par la firme d’Elon Musk atteint en moyenne les 915 euros, soit un montant extrêmement proche de celui d’une voiture de la marque BMW.
Une prime d’assurance auto pour une Tesla très importante donc, mais dont le niveau s’explique notamment par le fait que les voitures commercialisées par Tesla ont tendance à attiser la convoitise des autres usagers ou à subir de nombreux actes de vandalisme.
Le gouvernement souhaite inciter les usagers de la route à pratiquer plus régulièrement en mettant en place une nouvelle prime d’un montant de 100 euros pour les usagers de la route souhaitant passer à ce type de mobilité.
Une prime de 100 euros pour les nouveaux adeptes du covoiturage
Le nombre d’usagers de la route réalisant seuls leurs trajets du quotidien, qui leur permettent généralement d’aller de leur domicile jusqu’à leur lieu de travail puis de revenir, semble être trop important aux yeux du gouvernement. Pour réduire le nombre de conducteurs pratiquant l’autosolisme, le gouvernement a décidé de mettre en place une nouvelle aide à la mobilité d’un montant de 100 euros à partir du 1er janvier 2023. Cette prime devrait inciter les conducteurs hésitants à se tourner vers le covoiturage. Le coût total de cette nouvelle aide nationale devrait atteindre les 150 millions d’euros pour l’ensemble de l’année 2023.
Attention cependant car ces 100 euros ne seront pas versés en une seule fois mais bien de manière progressive. L’usager de la route recevra un quart de sa prime, soit 25 euros, après avoir réalisé son premier covoiturage. Le reste de la somme sera versé après le 10ème covoiturage, à condition que ne se soit écoulé qu’un délai de trois mois entre le 1er et le 10ème covoiturage.
Un objectif de réduction de la pollution et d’augmentation des économies
En s’attaquant de plein fouet aux trajets du quotidien en poussant les conducteurs à se tourner un peu plus vers d’autres modes de locomotion, notamment le covoiturage, le gouvernement espère réaliser non seulement une réduction des émissions de gaz à effet de serre, de rendre le trafic automobile plus fluide mais aussi de permettre aux automobilistes de consommer moins de carburants.
Le ministère de la Transition viserait pour cela un total de 3 millions de covoiturages chaque jour, ce qui permettrait une réduction des émissions de gaz à effet de serre de la France de 4,5 millions de tonnes, soit 1% du total des émissions de gaz à effet de serre générées par la France.
Pour soutenir cette nouvelle politique visant à favoriser le covoiturage, le Gouvernement va également investir 50 millions d’euros afin de développer et d’installer l’ensemble des infrastructures routières pour le covoiturage qui seront nécessaires pour permettre le bon déploiement de cette nouvelle aide.
Alors que les cyclistes sont particulièrement vulnérables lorsqu’ils circulent, certaines innovations permettent de rendre leurs trajets plus sécuritaires. C’est notamment le cas d’un nouveau sac à dos, qui permettrait de remplacer le casque chez les cyclistes.
Un sac à dos cachant un airbag pour les cyclistes
Les conducteurs de vélos ne sont jamais à l’abri d’une chute, dont les conséquences peuvent avoir des conséquences extrêmement graves si jamais leur tête devait être touchée. C'est pour cette raison qu’il est très fortement conseillé aux usagers circulant à vélo de bien se protéger la tête. Mais tous ces conducteurs ne souhaitent pas forcément mettre un casque.
Ces usagers ne seront bientôt plus obligés de se mettre en danger lorsqu’ils circulent. En effet, un nouveau dispositif de sécurité qui leur est destiné vient de voir le jour. Il s’agit d’un sac à dos d’apparence banale, mais qui comporte en réalité toute une série de capteurs de chute ainsi qu’un coussin gonflable.
Si le cycliste qui porte un tel sac à dos perd l'équilibre et tombe de son vélo, les capteurs reconnaissent l’effet de la chute et ordonnent à l’airbag de se gonfler. Des boudins remplis d’air se déploient alors de manière à protéger la tête, le cou et le torse du conducteur.
Des résultats extrêmement prometteurs pour cet airbag pour cyclistes
In&Motion, l’entreprise française qui propose ce nouveau dispositif de sécurité à destination des cyclistes, propose déjà des dispositifs de sécurité à destination des motards, des skieurs de vitesse ou bien encore pour les personnes qui pratiquent l’équitation.
D’après In&Motion, ce dispositif de sécurité permet de réduire de 80% les risques de dommages chez les usagers par rapport au port du casque seul, alors que seulement 30% des cyclistes portent un casque lorsqu’ils circulent.
Ce sac à dos spécifique laisse également 18L disponibles pour y ranger des affaires, et le sac à dos est connecté à une application qui permet d’alerter directement les secours en cas de chute.
Alors que les tests EURO NCAP ont apporté beaucoup dans le développement des dispositifs de sécurité des voitures, ces dernières années les évaluations donnaient une part trop importante aux aides à la conduite, sans que leur efficacité soit toujours validée.
Des critiques sur la méthode de notation d’EURO NCAP
Depuis quelques années, la seule présence de certaines aides à la conduite et de certaines innovations technologiques permettaient aux voitures testées par EURO NCAP de gagner un certain nombre d’étoiles sur leurs résultats aux crash-tests, sans pour autant que l'efficacité de ces technologies n’ait été suffisamment validée au préalable.
Un nouveau protocole d’évaluation entrera en vigueur en 2026
Ayant entendu les critiques liées à son mode d’évaluation, EURO NCAP a décidé de faire évoluer son protocole de tests. Ainsi, si l’évaluation des protections physiques des usagers de la route lors de crashs, EURO NCAP intégrera aussi une nouvelle évaluation des dommages que le cerveau des usagers risquent de subir. De plus, l’organisme d’évaluation va prendre en compte les différentes morphologies entre les hommes et les femmes, en fonction de leur âge.
Trois nouveaux tests traitant de la sécurité de conduite, de l'évitement de l’accident ainsi que de la sécurité après un accident devraient voir le jour progressivement jusqu’en 2026, le temps que tout soit parfaitement cadré pour leur intégration au dispositif global de test.
La France n’est pas le seul pays à faire face à des difficultés liées à son approvisionnement en électricité. La Suisse, par exemple, pourrait adopter un décret visant à réduire, en cas de dernière nécessité, l’usage des véhicules électriques afin d’alléger la consommation d’électricité.
Un besoin global de réduire la consommation d’électricité qui pourrait toucher les voitures électriques
Alors que des restrictions de circulation ont déjà été mises en place pour les véhicules thermiques, sous la forme des ZFE et des vignettes Crit’Air qui leur sont associées, la conjoncture actuelle fait que les propriétaires de voitures électriques pourraient subir une une interdiction de conduite, mais pour une raison différente de la lutte contre le réchauffement climatique.
Des interdictions bientôt en place dans certains pays voisins
Qui dit circulation des voitures électriques dit forcément besoin de recharger ces véhicules une fois que leur niveau de batterie a baissé. Or dans une période de difficulté d’approvisionnement électrique telle que celle qui est vécue actuellement, le gouvernement pourrait être tenté de restreindre à l’avenir l’usage des voitures électriques.
C’est notamment ce qui arrive en Suisse. En effet, alors que la confédération helvétique subit elle aussi une crise énergétique importante, le pays a proposé qu’en cas de dernier recours, l’usage des voitures électriques personnelles ne sera autorisé que pour les déplacements absolument nécessaires, comme le fait de se rendre au travail ou chez le médecin.
S’il ne s’agit pour l’instant que d’une proposition, l’adoption de cette Ordonnance pourrait permettre de participer à la réduction de la consommation d’électricité en Suisse, qui est extrêmement dépendante des livraisons venant d’Allemagne mais également de France.
La sortie de la futur Apple Car est de nouveau repoussée, cette fois à 2026, et l'ambition technologique du véhicule aurait été revue à la baisse, en partie à cause des lacunes actuelles concernant la conduite autonome.
L’Apple Car, un projet débuté il y a près de 10 ans
C’est vers la fin de l’année 2014 que Tim Cook, le CEO de la firme à la pomme, a validé le développement d’une voiture électrique de la marque Apple.
Connue aussi sous le nom de projet Titan, la voiture électrique d’Apple connaît un certain nombre de difficultés, ce qui explique le nouveau report de la sortie de ce véhicule. Le nouvel agenda prévoit que le développement de ce véhicule se prolongera jusqu’en 2024, avant que des essais routiers soient réalisés en 2025 pour une commercialisation durant l’année 2026.
Un véhicule technologiquement moins ambitieux
En plus de la date de sortie repoussée, Apple va revoir à la baisse les technologies intégrées dans sa voiture, notamment en ce qui concerne sa capacité de conduite autonome. Car si Apple prévoit de pousser au maximum les capacités de conduite autonome de sa future voiture, la firme à la pomme se retrouve limitée par les technologies actuelles dans ce domaine.
En effet, puisque aucun constructeur automobile n’a encore réussi à proposer des voitures autonomes permettant la conduite autonome de niveau 5, Apple va revoir ses ambitions à la baisse. Ainsi, l’Apple Car sera finalement équipée d’un volant et d’un pédalier, alors que le projet initial prévoyait que cette voiture soit commercialisée sans aucune commande destinée au conducteur.
Les radars dits “de chantiers” commencent à être utilisés avec pour objectif de surveiller des portions de routes particulièrement accidentogènes, mais sans rester statiques afin de pouvoir être plus efficaces vis-à-vis des conducteurs.
Les radars de chantiers, des dispositifs mobiles et particulièrement efficaces
S’ils doivent leur nom au fait qu’ils ont été régulièrement mis en place à proximité de chantiers, les radars chantiers sont des équipements de lutte contre les excès de vitesse qui ont fait leurs preuves au fil des ans, et qui possèdent un certain nombre d’avantages majeurs aux yeux des agents des forces de l’ordre.
Ainsi, des radars de chantier sont dorénavant installés le long des voies accidentogènes, afin de renforcer la lutte contre les excès de vitesse. D’autant que l’une des spécificités des radars de chantier tient au fait que ces radars fonctionnent grâce à une batterie et qu’ils peuvent très facilement être déplacés. Ainsi, ces radars ne restent jamais longtemps au même endroit, ce qui permet de forcer les automobilistes à faire attention à leur vitesse sur l’ensemble de l’axe, et non plus seulement à l’approche du radar.
Des radars annoncés par des panneaux spécifiques
Pour aider à lutter contre les effets néfastes de la vitesse sur la route, les gestionnaires des voies de circulation installent également des panneaux de signalisation de radars, qui comprennent le symbole des radars routiers et indiquant la distance totale le long de laquelle ces conducteurs sont susceptibles de voir leur véhicule être flashé par l’un de ces radars s’ils devraient rouler à une vitesse trop importante.